Pour intervenir dans le réfectoire d’un couvent pour  une rencontre de poésie sonore, j'ai pensé à réactiver l’expérience faite pour « Effet  de serre » de me mettre dans une grosse bouffée de chaleur.  
            J’ai toutefois  changé la recette pour essayer d’explorer avec plus d’insistance la sonorité  minimaliste des matériaux et le bruit répétitif de mes actions : essentiellement  souffler et frotter. 
            Toujours dans un contexte d’enfermement,physique, physiologique et psychique, cette nouvelle  expérience donne une autre dimension à la question de l’invisibilisation  progressive du corps de la femme vieillissant dans notre société.
 
            
  
           
             
             
          
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